VILLERS-SAINT-GENEST (60) --.07.1990

Résumé
Témoignage récent mais imprécis d'une observation ancienne d'un point lumineux suivi d'un récit de rencontre étrange : manque d'informations.
Description
Un témoin rapporte en 2012 une observation faite entre juillet et aout 1990 (la date du 1er juillet 1990 est donnée arbitrairement, le témoin ne se souvenant pas exactement de la date du jour). Cette personne relie également à cette première observation un évènement particulier arrivé en 2005.
Adolescente, le témoin observe les étoiles avec son frère depuis la chambre de la maison familiale vers minuit et demi. Tous les deux constatent qu'un point lumineux se rapproche et qu'un appareil gigantesque, noir et silencieux se stabilise devant la maison. Les enfants entendront des voix et effrayés se cacheront sous un bureau jusqu'au départ de l'engin. Ils est 2h30 lorsqu'ils sortent de leur cachette, étonnés d'être restés cachés si longtemps.
Lors d'une nuit en 2005, le témoin principal ,se réveillant fort agitée, se souvient que durant le temps très long où son frère et elle étaient cachés, elle était montée à bord de l'engin. Elle s'était retrouvée entourée de six êtres discutant entre eux à son propos et qu'elle était complètement terrorisée. Le témoin s'était soudain retrouvée sous le bureau dans la chambre de la maison.
Le témoin a relaté une observation de PAN en 1990, puis une rencontre étrange en 2005. Le récit des deux cas a été fourni pour expertise à un chercheur de l'Université de Toulouse, membre d'un laboratoire du CNRS, spécialiste des témoignages oculaires.
Le résultat de cette expertise conclut que le début de la première observation a été réellement vécue par le témoin (le début du témoignage fait penser à un passage de satellite) ; cependant l'ancienneté de l'observation ainsi que le manque d'informations (la date, l'heure) ne permettent pas d'aboutir à une conclusion nette.
La deuxième expérience est plus récente mais les conclusions mettent en évidence des indicateurs forts de récits non-vécus, ce qui est appelé « faux souvenir », c'est-à-dire des souvenirs adoptés par le témoin en toute sincérité, mais issus d'une construction involontaire de la part du témoin. L'apparition des faux souvenirs peut intervenir chez des témoins ayant vécus un état de stress post-traumatique (dans le cas présent, le témoin garde un souvenir traumatisant de la première expérience avec des répercussions sur son état de santé (trouble de la mémoire).
Ce cas est classé "C" : non exploitable par manque d'informations précises.